jeudi 20 novembre 2014

DEBAPTISATION CATHOLIQUE AVEC EFFACEMENT DES REGISTRES EN FRANCE : FIN PROVISOIRE.





Bonjour mes ami-e-s.

La Cour de cassation a donné raison à l'Eglise catholique dans l'affaire de René LEBOUVIER.


La Cour de cassation rejette une demande d’effacement des registres de baptême
LA CROIX 19/11/14 - 17 H 10

La plus haute juridiction de l’ordre judiciaire français confirme le jugement de la cour d’appel de Caen du 10 septembre 2013, rejetant le pourvoi de René Lebouvier qui voulait obtenir du diocèse de Coutances le retrait de son nom des registres de baptême.

La Cour de cassation, la plus haute juridiction de l’ordre judiciaire français, a confirmé, mercredi 19 novembre, le jugement de la cour d’appel de Caen du 10 septembre 2013, rejetant le pourvoi de René Lebouvier.
Ancien ouvrier boulanger et libre-penseur, René Lebouvier, 73 ans, avait déjà obtenu de voir la mention « a renié son baptême » figurer dans le registre de son ancienne paroisse, dans la Manche. Il voulait désormais obtenir du diocèse le retrait pur et simple de son nom. La cour d’appel de Caen lui avait donné tort, estimant que « la liberté de M. Lebouvier de ne pas appartenir à la religion catholique est respectée, sans qu’il y ait lieu à effacement ou correction supplémentaire du document litigieux ».

La cour d’appel avait pris le contre-pied du tribunal de Coutances (Manche), qui avait, le 6 octobre 2011, condamné, pour la première fois en France, un diocèse à effacer la mention d’un baptême sur un registre paroissial.
De fait, cette demande posait un problème grave à l’Église: que se passerait-il si jamais René Lebouvier changeait davis? Elle naurait plus aucune trace de ladministration de ce sacrement du baptême, qui ne peut, toutefois, être conféré deux fois à la même personne… Mais c’est bien « au nom des lois de la République » que l’avocat du diocèse de Coutances, Me Vincent Asselineau, avait justifié devant la cour d’appel la décision de son ancien évêque, Mgr Stanislas Lalanne, de refuser cette radiation. Notamment au nom de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État qui « laisse libres les Églises de tenir leurs registres comme elles l’entendent », dans les limites de l’ordre public. L’avocat avait pris soin également de rappeler que ces registres ne sont pas publics.
 



Le principal argument étant que, si le-la débaptisé-e change d'avis, il faut pouvoir retrouver les archives car on ne peut pas baptiser deux fois.

Donc indissolubilité du baptême des enfants, voire de celui des nourrissons, le rendant plus important que celui d'un adulte réfléchi.

Dont acte.

Comprenne qui pourra.

A bientôt car ...

A SUIVRE ...

(Catholique à vie, tu resteras marqué-e, ah mais !
Ta liberté spirituelle veux reprendre ? Jamais.) 

LA SOEUR DE MON AMIE SYLVIE EST-ELLE UN MONSTRE ?

(Que de noirceurs, ouh là là)



Bonjour mes ami-e-s.

Mon amie Sylvie vient de me téléphoner.
Elle a découvert des correspondances de dates inquiétantes.

Six jours avant la mort à l'hôpital de la deuxième femme de son père (cancer généralisé au stade terminal), la soeur de Sylvie se fait un chèque de 1000 euros sur le compte courant de la mourante et de son propre père, lui-même hospitalisé pour démence sénile sévère, en imitant la signature de son père. Elle est dans la ville V1.

Deux jours avant la mort de la deuxième femme de son père, elle arrive dans la ville V2, chez sa propre mère (ex-première épouse de son père) et se fait un chèque de 1000 euros sur le compte courant de sa mère (ou bien demande à sa mère, déjà âgée de 90 ans, de signer le chèque qu'elle vient d'écrire de sa propre main).

Au moment de la mort de la deuxième femme de son père, la soeur quitte sa mère donc V2, et retourne dans la ville V1 de son père et de sa belle-mère, qui vient de décéder. Elle prend la carte bleue de la morte et celle de son père, probablement dans les affaires de la morte; puis perd la carte bleue de feue sa belle-mère (mon amie Sylvie a retrouvé une déclaration de perte de la dite carte bleue, datant de 5 jours après le décès de la propriétaire) et utilise celle de son propre père pour faire des achats personnels, en particulier de l'essence pour rentrer chez elle en V3.

Une semaine après la mort de la deuxième femme de son père, rentrée chez elle en V3, la soeur dépose peinard des chèques sur son compte bancaire.

Puis repart tranquillement quelques jours plus tard à V1, en utilisant toujours la carte bleue de son père, hospitalisé dément, soit pour payer ses propres courses, soit pour retirer de l'argent liquide pour elle.

Mon amie Sylvie découvre par hasard que son père est veuf et prévient la justice, qui agit dans l'urgence pour protéger le pauvre homme.

Certain-e-s ne perdent pas le Nord face à la faucheuse et/ou le handicap mental des gens âgés.

Mais quand il s'agit de ses propres parents, cela prend une autre dimension. Vous ne trouvez pas ?

Mon amie Sylvie espère que sa soeur ne s'attaque pas à d'autres personnes âgées. Car qui a volé un boeuf, volera un oeuf, puisque c'est plus facile.

Et vous, qu'en pensez-vous ?

(J'ai envoyé cette photo à mon amie Sylvie, pour l'aider à respirer; cela lui a fait beaucoup de bien, m'a-t-elle dit ... Ouf !).

jeudi 13 novembre 2014

AH ! LES CHEVEUX GRIS AFFAIBLIS ... UNE VERITABLE MANNE POUR LES BOULIMIQUES !





Bonjour mes ami-e-s.

Quand il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir !

Et hop, la captation d'héritage, ni vu ni connu ...

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/11/12/les-intentions-tres-maladroites-d-un-couple-de-medecins

Comme si ces gens n'avaient pas assez d'argent ...

Accablant.

A bientôt car ...

A SUIVRE ...

(Ah, cet air pur qui remonte le moral, face à tant de cynisme ...).