jeudi 29 décembre 2011

BAPTÊME CATHOLIQUE = ACTION PUBLIQUE ?

Le temps passant, la nature vivante
reprend ses droits ...

Bonjour mes ami-e-s.

Voilà ce que je viens de lire sur le site de la Conférence des Evêques (catholiques) de France (CEF) :
 
Sacrements - 28 octobre 2011

"Débaptisation" : Mgr Lalanne fait appel

 
logo Coutance - Avranches
Mgr Stanislas Lalanne, évêque de Coutances et Avranches, a décidé de faire appel de la décision du Tribunal de Grande Instance de Coutances qui ordonne une désinscription du registre des baptêmes.
 
Dans un communiqué en date du 28 octobre 2011, la directrice de la communication du diocèse de Coutances et Avranches rappelle que « le baptême constitue un événement à caractère public ». Elle détaille comment l'Eglise catholique tient compte « à la fois de la volonté de la personne devenue adulte, et de celle de ses parents » dans la réponse qu'elle fait aux personnes « qui souhaitent renier leur baptême ».
 
Donc "le baptême constitue un événement à caractère public".
 
Je ne suis nullement d'accord avec cette affirmation ubuesque.
 
Aurais-je perdu la raison ?
 
Qu'en dirait Monsieur Jean Baubérot, grand spécialiste français de la laïcité ?
 
Et vous, qu'en pensez-vous ?
 
Une chapelle de verdure, à cent lieux de
l'inhumanité des hiérarques ecclésiaux,
bombant leur torse mortel dérisoire.
 
A SUIVRE ...
 
 
 

lundi 26 décembre 2011

TUTELLE, ARNAQUE, BIENS MAL ACQUIS SUR LE DOS DU GRAND ÂGE FRAGILE ?

Nid de chenilles processionnaires, construit à partir
d'une pomme de pin.
Bonjour mes ami-e-s.

Parfois, l'enfermement se resserre sur des prisonnier-e-s en-dedans.
Du solide !

Mon papa Charlick Gouinguenet (sous tutelle car Alzheimer avancé) est arrivé Résidence Antoine de Bourbon à Billère (où il est très bien), dans les Pyrénées Atlantiques, le 22 mars 2011.

J'habite à environ 500 mètres de son lieu de vie.

Depuis le 23 mars 2011, je m'occupe de laver et repasser son linge, sans le moindre souci; je trouve même que cela crée un lien entre nous deux; on fait ce que l'on peut avec Madame Alzheimer.

Le 5 décembre dernier 2011, j'ai subi une intervention chirurgicale, non grave mais momentanément handicapante.


De ce fait, je n'ai pu m'occuper de mon papa comme d'habitude.

J'ai fait "des pieds" et des mains pour contacter l'organisme de tutelle qui s'occupe de mon papa.

Impossible de les joindre.

La Résidence Antoine de Bourbon m'a rassurée en me disant que leur service s'occuperait du linge de mon papa durant le mois de décembre 2011. Aucun problème de ce côté.

Ce qui m'ennuie un peu, c'est cela :

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Vendredi 17 septembre 2010 à 06h00 | Mis à jour le 17 septembre 2010 à 07h22
Par thomas longué
2 commentaire(s)

Procès de l'Udaf 64 : De la prison ferme réclamée

L'avocat général a réclamé hier un an d'emprisonnement ferme à l'encontre de l'ancien directeur.

 La foule des ayants droit parties civiles, hier à Pau, au filtrage d'entrée du tribunal, peu avant l'ouverture du procès en appel des anciens dirigeants de l'Udaf.  Photo Guillaume Bonnaud

La foule des ayants droit parties civiles, hier à Pau, au filtrage d'entrée du tribunal, peu avant l'ouverture du procès en appel des anciens dirigeants de l'Udaf. Photo Guillaume Bonnaud

Ne parlait-on pas d'affaire « mort-née », hier encore, en début d'audience, à propos des malversations de l'Udaf 64 (Union départementale des associations familiales), devant la cour d'appel de Pau ?
L'avocat général, Richard Pineau, aura donc vigoureusement ranimé le « bébé ». Ce en réclamant deux ans de prison dont un avec sursis (et 20 000 € d'amende) à l'encontre d'Henri Clair, directeur de l'Udaf de 1976 à 2002.
M. Pineau a balayé la prescription dont avaient bénéficié ce dernier ainsi que l'ancienne présidente, l'ancien trésorier et le commissaire aux comptes, tous quatre relaxés par un premier jugement du tribunal correctionnel de Pau, le 21 janvier 2009.
Rôles distincts
Mais dans des faits qu'il a qualifiés « d'extrêmement graves », le représentant du parquet a opéré un clair distinguo entre le rôle d' Henri Clair, « cheville ouvrière » d'un système qui a fini par exploser à retardement, et les deux dirigeants bénévoles. Envers lesquels il a requis six mois d'emprisonnement avec sursis. À l'ex-présidente : « Toute bénévole que vous fussiez, quand on accepte une charge, on en accepte également les devoirs ».
Le principal fait qui leur est reproché : avoir remis dans la comptabilité générale de l'Udaf, dans une totale opacité, les intérêts (chiffrés à 941 000 € par Me Robert Malterre, partie civile) d'un « compte pivot » dont devaient exclusivement bénéficier des « adultes protégés », placés sous tutelle ou curatelle.
Ce n'était pas faute pour l'Udaf 64 d'avoir été sensibilisée par l'organisme national, l'Unaf, dès avril 1993, sur les impératifs liés à ce compte collectif. L'avocat général a aussi indiqué qu'une nouvelle directive, suite à des abus constatés, avait été pondue en 1998. Bref : « Ce n'était pas une découverte ».
Ayants droit « remontés »
Il n'empêche que la cocotte-minute a continué de bouillir jusqu'à l'explosion du couvercle, en 2005. Année où le nouveau commissaire aux comptes de l'Udaf s'est ouvert au procureur de la république qu'il ne pouvait valider les comptes.
La structure Udaf a été liquidée en 2006 : plus de 10 millions € de passif à ce jour.
Avoir lésé les intérêts d'adultes fragiles - la loi les reconnaît comme tels depuis la Libération - est apparu comme une tache d'autant plus détestable, aux yeux de l'avocat général, qu'elle était le fait de leur propre organisme de tutelle.
Ce au gré d'une gestion globale désastreuse, selon l'Inspection du Trésor. Reproche accablant de l'avocat général à l'ancien directeur : « Vous avez [cherché] vos propres intérêts et ceux des salariés de l'Udaf… L'Udaf est devenue une danseuse dont vous profitiez jour après jour ».
Assenés au même ex-directeur, coup sur coup, le montant de son indemnité de retraite (70 000 €) et la facture « Udaf » de son pot de départ (4 000 €). « Là, vous avez su parfaitement provisionner… ».
Parmi le public, ces chiffres sont accueillis par une sourde réprobation par les ayants droit, qui se sont regroupés en association. Le président, Yves Saint-Macary, les a à plusieurs reprises exhortés au calme et au silence, et en a gendarmé quelques-uns à cause de leur portable.
Parties civiles, ils et elles sont 317 représentés par la seule Béatrice Spiteri. Me Maripierre Massou dit Labaquère défend d'autres créanciers de l'Udaf : « Ce sont les droits des victimes qui ont été bafoués », s'agace-t-elle, face aux exceptions de nullité soulevées par la défense. Elle chiffre le préjudice global des ayants droit à 4 millions €.
Tutelle
En revanche, pour le bâtonnier Jean-François Blanco, l'un des quatre avocats des ex-dirigeants et du commissaire aux comptes : « On a ciblé des boucs émissaires, mais l'on n'a pas recherché les responsables du fonctionnement, qui se faisait sous la tutelle tant de l'administration que de l'institution judiciaire ».
Avocat de l'ancien directeur, le bâtonnier Jean-Pierre Casadebaig qui devait plaider le dernier, tard hier soir, considérait dans l'après-midi que « le mal-être des victimes prétendues a été très largement instrumentalisé dans cette affaire ».
Réfutant toute suspicion d'enrichissement personnel - que ne vise d'ailleurs pas la procédure - Me Casadebaig estime qu'elle se résume à des écritures comptables : « C'est une question d'interprétation de l'utilisation de produits financiers ».
L'arrêt a été mis en délibéré.
Pyrénées-Atlantiques · Pau · justice · Faits divers
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L'Udaf des Pyrénées Atlantiques est actuellement en redressement judiciaire. Et pour cause ...
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UDAF 64

– Pau
Téléphone :
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Adresse :
3 Rue Léon Daran 64000 Pau France
– Itinéraire
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Ce qu'il faut retenir sur « UDAF 64 » Vous êtes propriétaire de ce lieu ?
description
humanitaire, association, charité, vie pratique, charité, association humanitaire (entraide, action sociale)
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Elle est désormais remplacée par l'ASFA de Pau :

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A.S.F.A 64

Associations humanitaires, d'entraide et d'action sociale


23 rue Roger Salengro

64000 Pau

 

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(J'ai surligné en rose ce qui me trouble un peu ...).

 

Or, aucun organisme de tutelle ne m'a encore contactée, depuis que mon père est domicilié dans les Pyrénées Atlantiques, soit depuis le 22 mars 2011, soit depuis 9 mois (le temps d'une grossesse humaine).

 

C'est vrai qu'il y eut transfert de Tutelle (du Morbihan vers les Pyrénées Atlantiques) du fait d'un Jugement en date du 27 juillet 2011 :

 

 

De plus, les vacances judiciaires  ...

 

Certes, mon papa ne m'appartient pas. D'ailleurs il n'appartient à personne. C'est un être humain amoindri, qui a besoin d'une assistance humaine permanente.

 

S'il n'avait pas de sous, cet organisme "humanitaire" s'occuperait-il des finances de mon papa, avec autant de force secrète ?

 

D'attente et de silence lasse, avant de me faire opérer, et pour être certaine que le linge de mon père serait pris en charge (devais-je payer le pressing de Charlick ?), je me suis adressée au représentant du Médiateur de la République à Pau.

Finalement, la dame de l'ASFA de Pau, qui s'occupait de mon père (et n'était pas encore venue le voir en plusieurs mois, mais gérait ses comptes bancaires, ben voyons !) fut dessaisie de sa responsabilité et remplacée par un monsieur.

 

Ce monsieur a fait le déplacement jusqu'à La Résidence Antoine de Bourbon pour voir mon papa. C'est très gentil de sa part.

 

Je ne connais ni son nom, ni son visage.

 

Il ne m'a donné aucune nouvelle de mon père.

 

Heureusement, j'ai pu aller voir papa Charlick à pied pour Noël.

 

Si je n'avais pas été opérée début décembre, et si je ne m'étais pas manifestée auprès de la Préfecture, siège du Médiateur de la République, quelqu'un de l'ASFA de Pau serait-il venu voir mon père, dont cet organisme d' "entraide" gère les biens matériels ?

 

Et vous, qu'en pensez-vous ?

 

Attention ! Beau mais poison ... Ne jamais se fier aux apparences ... 

Lors de Noël et du jour de l'an, nous fêtons la sérénité gratuite ? 

 

A BIENTÔT ...

 

N.B. Je viens de corriger la légende sous la première photo. C'est un nid de chenilles processionnaires. Il faut faire très attention quand on a un chien. S'il en mange, il peut en mourir (sorte d'oedème de Quincke, avec gonflement de la langue +++; c'est une urgence vétérinaire).

vendredi 23 décembre 2011

GRAND CREPUSCULE PEINARD.

Main de la fille dans celles du père ...

Bonjour mes ami-e-s.

Bien sûr, papa Charlick ne fera plus ses 18 trous de golf.

Mais nous avons évoqué ses premières amours : La voltige à cheval et l'escrime.

Il était content et apaisé.

Sieste avec "toto le lapin", si doux ... 

A suivre car ...

A BIENTÔT ... 

jeudi 1 décembre 2011

CHRISTIANISME, PETROLE, LIBYE, ARGENT DE LA MORT.

Joli travail, mais ...

Bonjour mes ami-e-s et non ami-e-s.

Le Conservatoire de Musique et Danse Pau Pyrénées (64) permet à certain-e-s de ses élèves d'étudier sur les Orgues Cavaillé-Coll de la Chapelle des Réparatrices, récemment restaurées.

Nous savons que des Libyen-ne-s arabo-musulman-e-s viennent d'être massacré-e-s pour que la firme TOTAL puisse continuer à exploiter leur sol.

Or la restauration des orgues sus-citées a bénéficié des largesses financières de la Fondation pour le Patrimoine de cette firme TOTAL.

http://fondation-patrimoine.fondation-total.org/fiches-projets/projet-25/nature

(clic gauche pour sélectionner puis clic droit pour lire le lien)

Force est de constater qu'une partie de l'argent du pétrole libyen arabo-musulman sert à financer le rayonnement culturel chrétien français.

La fondation Total a-t-elle dans ses projets de restaurer une mosquée et/ou d'ériger un monument aux victimes récentes de la révolution libyenne ?

Dois-je ne plus penser à ces morts et me permettre de jouer sur cet orgue (ce que je n'ai pas encore fait), maintenant que je sais cela ?

Et vous, que feriez-vous ?

A bientôt car ...

Les 128 pêcheurs de l'Île de Sein, 
qui gagnèrent l'Angleterre entre les
19 et 26 juin 1940 pour lutter contre
l'envahisseur, accepteraient-ils
d'envahir ?

A SUIVRE ...